Réalisation: Gilbert Rouget et Jean Rouch. Au Mali, les jeunes chevriers Dogons apprennent les batteries traditionnelles sur les tambours de pierre de leurs ancêtres. Puis ils s'exercent sur les tamboursde bois, troncs d'arbre creux qu'ils frappent avec des baguettes. Devenus hommes, ils battront les tambours de peaux des funérailles. Le film montre différents rythmes ainsi qu'une scène de funéraille.
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