"Il était facile de diviser, du subdiviser et d'orchestrer le rectangle de l'écran. Ces subdivisions seraient l'équivalent des "rouleaux" et je me mis à filmer des suites de rectangles et de carrés de papier de toutes grandeurs et allant du gris foncé au blanc. (...) Mes rectangles et mes carrés de papier, je les fis alors s"agrandir et disparaître, se mouvoir par saccades ou par glissements, non sans calculer les temps avec soin, et selon des rythmes déterminés" (d'après Hans Richter)