Rudolf Giuliani et Michael Bloomberg croyaient avoir nettoyé la ville de New York de son âme profonde et de ce que les républicains considèrent plus comme une forme de décadence. C'était sans compter sur le groupe White Hills et son rock crade dopé aux amphét et aux volutes à la Acid Mothers Temple. Il serait d'ailleurs de bon ton de leur accoler un "Post quelque chose" pour leur style à part mais le problème c'est qu'ils représentent une quirielle de "Post" à eux tout seul. C'est du ROCK point barre, déjanté certes, mais du R.O.C.K.. (DM)
- WHITE HILLS:
- Dave W. Guitare, Voix, Synthetiseur
- EGO SENSATION Guitare basse, Voix
- KID MILLIONS Drums
- add
- Pierre AUNTOUR Synthetiseur
- Chris CARLONE Voix
- VERILY Electronics
- 1 Dead
- 2 Counting sevens
- 3 Three quarters
- 4 Let the right one in
- 5 We will rise
- 6 Glacial
- 7 Polvere di stelle
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